Bonjour à tous
A mon tour de me présenter:
Enseignante en primaire depuis 27 ans, je ne sais plus si je dois rester ou partir.
J'aime toujours mon métier, mais je ne supporte plus les conditions dans lesquelles nous sommes obligés de le faire.
Je crois que la réforme des rythmes a été pour ma part la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
L'institution en demande toujours plus, à nous , comme à nos élèves.
Actuellement j’exerce en maternelle, et dans les nouveaux programmes le mot de BIENVEILLANCE revient souvent.
Et bien, elle est où la bienveillance dans les conditions de travail qui sont les nôtres?
Comment peut on continuer à être bienveillant envers nos élèves, quand plus grand monde ne l'est pour nous?
Pour ma part j'ai épuisé toute ma bienveillance à l'égard de l'EN, et je suis en colère.
Pour cela je ne me vois pas enseigner encore au minimum 12 ans dans ces conditions, car c'est ma santé qui commence à en pâtir.
Alors au plaisir d'échanger avec vous
A mon tour de me présenter:
Enseignante en primaire depuis 27 ans, je ne sais plus si je dois rester ou partir.
J'aime toujours mon métier, mais je ne supporte plus les conditions dans lesquelles nous sommes obligés de le faire.
Je crois que la réforme des rythmes a été pour ma part la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
L'institution en demande toujours plus, à nous , comme à nos élèves.
Actuellement j’exerce en maternelle, et dans les nouveaux programmes le mot de BIENVEILLANCE revient souvent.
Et bien, elle est où la bienveillance dans les conditions de travail qui sont les nôtres?
Comment peut on continuer à être bienveillant envers nos élèves, quand plus grand monde ne l'est pour nous?
Pour ma part j'ai épuisé toute ma bienveillance à l'égard de l'EN, et je suis en colère.
Pour cela je ne me vois pas enseigner encore au minimum 12 ans dans ces conditions, car c'est ma santé qui commence à en pâtir.
Alors au plaisir d'échanger avec vous