Bonjour
Je suis professeure documentaliste titulaire, c'est ma quatrième rentrée (en comptant l'année de stage) dans l'enseignement. J'aimerais accéder à ce forum qui a l'air riche d'informations et d'inspirations, car si je ne suis pas encore en grande souffrance dans mon travail, je ne m'épanouis pas pleinement et je sens que dans quelques années je pourrais franchement m'y sentir très mal ; mes débuts m'ont montré quelques signes annonciateurs que je ne veux pas ignorer.
J'ai lu avidement la présentation des autres membres, et je me sens soulagée de découvrir un espace de parole où l'on peut sans crainte annoncer : "Je n'aime pas mon métier". J'ai l'impression de devoir cacher mon manque d'enthousiasme auprès de mes collègues, comme si c'était mal vu de ne pas avoir la vocation et de préférer sa vie perso.
J'envisage deux choses pour la suite de ma vie professionnelle (j'ai la petite trentaine) :
- tout en conservant le bénéfice de mon concours, trouver des voies pour m'oxygéner, changer d'air momentanément. J'ai par exemple déjà une année de disponibilité pour convenances personnelles à mon actif
Autres pistes : mi-temps annualisé, enseignement agricole, poste à l'étranger, détachement...
- me reconvertir pour de bon d'ici dix ans. J'ai plein d'idées que je n'ai pas étudiées en profondeur : métiers de l'artisanat d'art, protection animale dans l'associatif, boulangère , FLE pour les adultes, métiers du social, éducatrice spécialisée, graphothérapeute, écrivain public...
Au plaisir de vous lire,
Chantelune
Je suis professeure documentaliste titulaire, c'est ma quatrième rentrée (en comptant l'année de stage) dans l'enseignement. J'aimerais accéder à ce forum qui a l'air riche d'informations et d'inspirations, car si je ne suis pas encore en grande souffrance dans mon travail, je ne m'épanouis pas pleinement et je sens que dans quelques années je pourrais franchement m'y sentir très mal ; mes débuts m'ont montré quelques signes annonciateurs que je ne veux pas ignorer.
J'ai lu avidement la présentation des autres membres, et je me sens soulagée de découvrir un espace de parole où l'on peut sans crainte annoncer : "Je n'aime pas mon métier". J'ai l'impression de devoir cacher mon manque d'enthousiasme auprès de mes collègues, comme si c'était mal vu de ne pas avoir la vocation et de préférer sa vie perso.
J'envisage deux choses pour la suite de ma vie professionnelle (j'ai la petite trentaine) :
- tout en conservant le bénéfice de mon concours, trouver des voies pour m'oxygéner, changer d'air momentanément. J'ai par exemple déjà une année de disponibilité pour convenances personnelles à mon actif
Autres pistes : mi-temps annualisé, enseignement agricole, poste à l'étranger, détachement...
- me reconvertir pour de bon d'ici dix ans. J'ai plein d'idées que je n'ai pas étudiées en profondeur : métiers de l'artisanat d'art, protection animale dans l'associatif, boulangère , FLE pour les adultes, métiers du social, éducatrice spécialisée, graphothérapeute, écrivain public...
Au plaisir de vous lire,
Chantelune